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Remue-méninges autour de la réhabilitation de la corniche (suite)

Elue municipale déléguée au patrimoine de 2001 à 2020, Florence Cyrulnik est à l’origine de la création de ZPPAUP ( Zone de protection du patrimoine architectural urbain et paysager) de Balaguier aux Sablettes devenue SPR (Site patrimonial remarquable) en 2016. Déléguée territoriale de la Fondation du patrimoine. elle fait aussi partie des personnalités qualifiées désignées par la préfecture pour siéger à la commission locale du SPR Balaguier - Tamaris - Les Sablettes - Baie du Lazaret
A ce titre Florence Cyrulnik, qui assure « ne plus faire de politique », se déclare attentive au « respect de la loi surtout en ce qui concerne la protection du patrimoine et du paysage, en particulier en SPR et en périmètre de protection des monuments historiques ». Ayant participé depuis 2022 à toutes les réunions publiques et visites de concertation consacrées au futur aménagement de la corniche de Tamaris, « j’avais cru, indique Mme Cyrulnik, que les prescriptions du règlement du SPR (servitude d'utilité publique s'imposant au plan local d'urbanisme) serviraient de base au cahier des charges du projet. Or, ajoute-t-elle, je relève plusieurs contradictions entre le projet de réhabilitation et ce règlement de protection de la corniche ».
« Des infrastructures intrusives »
Ainsi, poursuit Mme Cyrulnik, « tout au long de l’étude, on retrouve les termes de « discrétion », « esprit des lieux », « cônes de vue », « perspectives sur le grand paysage maritime » … Mais, interroge-t-elle pourquoi faudrait-il imposer sur la corniche une touche contemporaine par des bouleversements fonctionnels peu justifiés et des superstructures intrusives défigurant le paysage ? ». Parmi ces bouleversements, elle évoque « le casse-tête d’un sens unique aux conséquences peu écologiques pour les résidents et les usagers », « les voies de contournement peu satisfaisantes », « les études de circulation à refaire », « les altérations de la sécurité d’un secteur boisé propice aux incendies », « le mobilier urbain intempestif et les plantations encombrant un espace public précieux » mais aussi « le coût d’une piste cyclable de 4 km avoisinant celui d’une autoroute ».
« Des alternatives au sens unique existent »
Dans l’attente d’une entrevue avec l’architecte des bâtiments de France, afin « d’évaluer ces contradictions », Florence Cyrulnik fait savoir qu’elle souhaite une nouvelle réunion de la commission locale de SPR qui, en mai 2024, avait donné un « avis favorable » au projet. Sauf que, assure-t-elle, « cet avis portait, non sur le projet complet de réhabilitation, mais sur quelques questions qualifiées de « détails » que de nombreux membres de cette commission pensaient être appelés à préciser ultérieurement ».
De plus, affirme l’ex-élue, ces membres ont eu « la surprise de découvrir, six mois plus tard, en présentation publique ou dans des plaquettes municipales, des illustrations différentes de ce qui avait été admis ». Pour ces raisons, Florence Cyrulnik demande donc l’organisation d’une réunion de la commission du SPR lors de laquelle serait présenté le projet « dans son ensemble », de Bois Sacré aux Sablettes ». Tout en sachant, conclut-elle, que des alternatives existent au ses unique, dans une utilisation plus flexible de l’espace public et des superstructures, permettant la diversité des usages sans altération majeure du paysage ».
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Chevaliers de la table ronde...

CE SONT DES moments de découverte gourmands et envoûtants qui vous attendent jusqu'à fin septembre au départ du port de Toulon. Dès le vendredi 23 mai prochain, jour de la croisière inaugurale, les croisières vigneronnes organisées par l'office de tourisme Provence Méditerranée font leur retour dans la rade. Elles seront ensuite proposées tous les jeudis du 29 mai au 25 septembre, à chaque fois en début de soirée (départ généralement prévu à 18 h 30 ou 19 h).
Vins locaux et pêche du jour.
Monts toulonnais, villas mauresques, fortifications, cabanes de pêcheurs... De Toulon à Saint Mandrier en passant par La Seyne, cette croisière de deux heures au coucher du soleil est l'occasion de (re)découvrir les joyaux et l'histoire riche du territoire varois, le tout en savourant divers mets locaux. Une dégustation de vins issus de différents domaines de la métropole est à chaque fois proposée, de même qu'une sélection de petits plats (huîtres, tartare de poissons) réalisés à partir de la pêche du jour, auxquels s'ajoutent le fameux Chanteclair, pâtisserie emblématique de la capitale du Var, ainsi qu'un petit pain provençal (1).
(1) Les mets proposés ne constituent pas un repas. Le tarif enfant ne comprend que la traversée et une boisson.
Tarifs: 43 € pour les adultes ; 19,50 € pour les 4 à 18 ans ; gratuit pour les moins de 4 ans.
RÉSERVATIONS sur le site

https://www.provencemed.com/loisirs /croisiere-vigneronne-dans-la-rade-de-toulon/

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Remue-méninges autour du sens de circulation sur la corniche (suite)

Après l'évocation de plusieurs alternatives destinées à éviter la mise en sens unique d'une partie de la corniche de Tamaris (nos éditions précédentes), une nouvelle suggestion émerge. Elle émane de Jean Huillet, vice-président du Comité d'intérêt local La Seyne ouest et sud (CILLSOS), qui dit en être « à l'initiative lors des échanges au sein des réunions de bureau des CIL », et « lors de rendez-vous avec la maire ou ses collaborateurs ». Sa proposition : aménager une voie partagée vélos / piétons.
Compatible avec les subventions ?
Ce choix, poursuit Jean Huillet, a été fait récemment par d'autres communes, comme à Six-Fours sur une partie de l'avenue de la Mer, pourtant bien plus large que la corniche. Et il est faux de prétexter que ce choix priverait le projet de certaines subventions », affirme le vice-président du CILLSOS. A l’heure ou la perspective d'un sens unique entre l'Espace Grimaud et le port du Manteau cristallise les critiques, cette nouvelle proposition est donc à verser au dossier et son auteur espère qu'elle pourra être prise en compte dans les ultimes études avant la mise en œuvre du projet de réhabilitation. M. G.
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Remue-méninges autour du sens de circulation sur la corniche (suite)

Publié dimanche, notre article consacré aux alternatives au sens unique sur la corniche de Tamaris. présentées par l'association Toulon Var Déplacements (TVD) dans la cadre du projet de réhabilitation de cet axe, a fait réagir et suscité une vague de commentaires sur les réseaux sociaux. La plupart d'entre eux émane de personnes hostiles au sens unique, mais certains apprécient la recherche d'options pour l'aménagement des zones les plus étroites : celles des forts de l'Eguillette et de Balaguier, où il n'y a pas la largeur suffisante pour faire cohabiter automobilistes, cyclistes et piétons tout en conservant une route à double sens. Parmi les réactions, on note celle du comité d'intérêt local (CIL) des Sablettes, qui fait connaitre son intérêt pour la mise en place d'un chaucidou » (chaussée à circulation douce où les véhicules partagent une voie centrale encadrée par deux bandes cyclables sur lesquelles il est possible de se rabattre en laissant la priorité aux vélos). « Cette solution nous paraît des plus intéressantes, avec un partage de la route entre les automobilistes, les piétons et les cyclistes », indique le CIL.
« Et si on déviait la piste cyclable ?»
Par ailleurs, un administré a transmis à Var-matin une autre proposition pour franchir ce qu'il appelle la « zone critique », celle de la corniche Bonaparte. « Et si on déviait la piste cyclable pour conserver le double sens de circulation automobile ? », interroge-t-il. Ce lecteur propose ainsi de « détacher la piste cyclable du trajet côtier, pour emprunter le chemin du Manteau (trop étroit pour envisager une déviation pour les voitures) afin de rejoindre l'avenue de la Corse résistante (au niveau de la chapelle) puis la corniche Philippe Giovannini par la rue Charles-Tournier ou le chemin Jacques-Casanova ou elle pourra de nouveau longer les voies de circulation automobile ». Comme le montre l'illustration ci-dessus, la distance et le temps de parcours seraient peu ou prou les mêmes qu'en passant par la corniche.
Faire avancer le débat Interroge sur cette hypothèse. Michel Pierre, vice-président de TVD, doute toutefois de la recevabilité de cette proposition. Motif : « La piste cyclable sur la corniche. référencée comme itinéraire touristique, est inscrite dans le "Plan vélo" de TPM. En plus, l'alternative proposée, en passant par l'intérieur, n'est pas un itinéraire cyclable puisque c'est une voie routière. Cela nécessiterait sans doute le recours à des aménagements, une chaucidou, voire une zone de rencontre sur certaines portions ». « Il faut aussi tenir compte du dénivelé car, autant passer sur la corniche c'est plat, autant il faudrait grimper un peu pour passer par le chemin du Manteau. Et puis, hors corniche, cet aménagement ne rentrerait pas dans le financement prévu. Néanmoins. conclut Michel Pierre, c'est une proposition qui peut faire partie des choix sachant que les choix sont, en dernier ressort, tranchés par les élus ». Toujours est-il que, réalisables ou non, les propositions d'alternatives au sens unique ont le mérite de montrer que les citoyens s'emparent du débat. Cette volonté de rechercher des solutions en vue de concrétiser le projet de réhabilitation sur la corniche tranche sensiblement avec les positions des décideurs qui peuvent apparaître figées.

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Remue-méninges autour du sens de circulation sur la corniche

Dans la dernière livraison de son bulletin d'information, l’association Toulon Var Déplacements. sous la plume de son vice-président Michel Pierre (également conseiller du quartier sud de La Seyne), se penche sur le projet de réhabilitation de la corniche de Tamaris. L'auteur, qui pose en préambule que « tout le monde est pour cette rénovation », s'intéresse au point le plus problématique de ce dossier : l'instauration d'un sens unique entre l'espace Grimaud et le port du Manteau. Et il se livre à un exercice encore peu évoqué dans les débats : la recherche d'alternatives. Déjà, Michel Pierre rappelle les données du problème, qu'il qualifie de contraintes incontournables » : « La loi impose un itinéraire cyclable (piste ou bande cyclables de 3 m) en plus d'un trottoir (1,4 m) » alors que « la largeur utile de la corniche est faible, de 8,5 à 11,5 m. Or. avec une route à double sens de 6 m, il faut a minima 10,4 m sans compter les bordures et les évacuations d'eaux de pluie ».
« Le sens unique favorise la vitesse » 

Ceci étant posé, le vice-président présente les quatre solutions possibles sur les zones les plus étroites, celles des forts de l'Eguillette et de Balaguier.
La première est évidemment le sens unique, qui répond aux objectifs de séparation des flux de piétons. vélos et voitures. Mais qui poserait des problèmes aux riverains et à la desserte en transport en commun. Il favoriserait aussi la vitesse ».
La deuxième possibilité serait la création d'une « zone de rencontre où les piétons auraient la priorité et seraient autorisés à circuler sur la chaussée à condition de ne pas s'y arrêter. Toutefois, écrit Michel Pierre, « une telle zone impose des aménagements pour limiter la vitesse à 20 km/h ».
Troisième hypothèse : le chaucidou (chaussée à circulation douce) ou chaussidou (contraction de chaussée pour les circulations douces), encore appelé CVCB (chaussée à voie centrale banalisée). On y trouve une voie centrale pour la circulation à double sens des véhicules, une bande cyclable de chaque côté et un trottoir. Règles à respecter : si un véhicule se présente en face, on se rabat sur la droite pour croiser le véhicule, tout en vérifiant qu'il n'y a pas de vélo sur la bande cyclable. S'il y en a un, on se rabat à droite sur la bande cyclable, derrière le vélo et on attend que le véhicule soit passé pour doubler le cycliste. Cette solution, précise Michel Pierre, ne nécessite que 5,5 m de large pour la voie centrale, laissant place à trois mètres pour un ou deux trottoirs et autant pour les bandes cyclables ». Un tel aménagement existe par exemple au Pradet (chemin de l'Artaude) avec vitesse limitée à 30 km/h.
« Etudier les avantages et les inconvénients »
Dernière possibilité présentée, l’alternat : la circulation dans les deux sens est assurée par un sens unique qui est alterné par des feux. Cela existe pour la traversée de la D97 dans Gonfaron. entre Cuers et Le Luc », illustre Michel Pierre qui précise que « les trois dernières solutions peuvent être combinées en une pour maintenir un double sens sur la corniche ».
Et l'auteur de conclure que TVD « souhaite qu'une solution alternative soit étudiée avec ses avantages et inconvénients ».
Pour I’heure, face aux critiques sur le sens unique, la maire de La Seyne a indiqué qu'avant le démarrage de l'enquête publique sur le projet global (a priori juin - juillet 2026), une étude de circulation complémentaire allait être lancée avec une réflexion portant sur une inversion du futur sens unique entre l'espace Grimaud et le port du Manteau.

Voici l'illustration de ce qu'est une Chaussée à Voie Centrale Banalisée (CVCB).
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 Rififi entre les CIL et la mairie

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Réhabilitation de la corniche: le débat

Suite à la réunion publique du 4 avril 2025 au casino Joa concernant la présentation du projet de rénovation de la corniche, un adhérent du CIL B-M-E a transmis à notre présidente un ensemble de réflexions à partager avec tous les Seynois.
Le document est à télécharger en cliquant ci-dessous:


Vous pouvez faire part de vos réactions sur le site sur la page dédiée à cet usage.
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Epaves de la rade: "le Monde" en parle.

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Corniche: Réunion publique du vendredi 04 avril : grosse affluence et un bémol...

A suivre ...
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Maman les petits bateaux...

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Epaves de la rade: la presse nationale en parle.

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Rénovation de la corniche de Tamaris: la pétition (suite...)

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Changement de Plan de Circulation sur la corniche de Tamaris: la pétition

Le collectif de tous les Comités d'Intérêt Locaux de notre ville, suite à la réunion de leurs bureaux respectifs ont décidé de lancer une pétition demandant la modification du projet de rénovation de la corniche présenté par TPM.

Cliquer sur le lien ci-dessous pour télécharger les dernières informations transmises par TPM à notre CIL concernant les flux de circulation.


Cliquer sur les liens ci-dessous pour télécharger la pétition papier ou accéder à la pétition en ligne.


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Bois sacré: premières crémaillères pour bientôt.

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Sur BFM Toulon.
 La Seyne: le fléau des bateaux abandonnés.

Pour accéder au sujet sur BFM TV, veuillez cliquer sur le lien ci-dessous:

La corniche (suite et pas fin)

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A l'abordage!

Ramassage de débris d'épaves immergés en baie de Balaguier le 27 février.

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Quel avenir pour le Manteau ?

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Le collectif des CIL de la Seyne vent debout contre le projet actuel de rénovation de la corniche

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La corniche en questions (... et réponses)

Des représentants du CIL ont eu le 24 janvier 2025 une entrevue avec Mme Vailland qui est en charge du projet d'aménagement de la corniche pour la métropole Toulon Provence Méditerranée.

L'occasion de faire un point ô combien nécessaire sur son avancée.

Le compte-rendu de cet entretien est consultable en cliquant sur le lien ci-dessous.

Réunion TPM 24/01/25  

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Assurance accident nucléaire

Lundi 20 janvier 2025, débute la campagne de mise à disposition de comprimés d’iode stable à Toulon, La Seyne-sur-Mer, Ollioules et Saint-Mandrier-sur-Mer. 
La campagne concerne uniquement ces 4 communes inscrites dans le périmètre du Plan Particulier d'Intervention (PPI) du port militaire de Toulon.

La prise de comprimés d’iode stable permet de protéger efficacement la thyroïde en cas d’accident d’une installation nucléaire entraînant un rejet d’iode radioactif. Il est impératif d’attendre l’instruction du préfet pour ingérer ces comprimés.

Les modalités de la campagne

 Les particuliers résidant dans les communes de Toulon, La Seyne-sur-Mer, Ollioules et Saint-Mandrier-sur-Mer sont invités à se rendre dans une pharmacie délivrant des comprimés d’iode stable. En indiquant la composition de leur foyer, ils se verront confier le nombre adéquat de boîtes de comprimés. Aucun document justificatif n’est nécessaire.

 Les employeurs de droit privé ou public et les responsables d’établissements recevant du public (écoles, supermarchés, etc.) de ces communes sont invités à télécharger le bon de retrait qui leur est destiné sur le site de la préfecture du Var, à le remplir et à se rendre dans une pharmacie délivrant des comprimés d’iode stable, munis de ce bon, afin de retirer les boîtes de comprimés nécessaires à leur structure.

La liste des pharmacies participant à la campagne de mise à disposition de comprimés d’iode stable est disponible au lien suivant :
Le bon de retrait destiné aux employeurs et aux responsables d’ERP est disponible au lien suivant https://www.var.gouv.fr/ou en tapant ppitoulon.net dans votre barre de recherche;

Pour toute question sur la campagne, adressez un mail à : pref-distribution-iode@var.gouv.fr.
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Perfide Albion!

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Quelle corniche aurons nous ?

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Ce n'est pas Los Alamos, mais...

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"Le Père Louis": le calme enfin ?

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Les Lofts de l'Eguillette à la vente...

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Mouillages à Balaguier: suite...

Depuis lundi 10/06, une campagne d’enlèvement des corps-morts des mouillages (désormais) interdits a débuté en baie de Balaguier avec le concours de la Marine Nationale.
Des plongeurs travaillent conjointement avec des bateaux pneumatiques et un bateau de travail équipé d’une grue pour repérer, marquer puis enlever les corps-morts.
La prochaine étape concernera t’elle l’enlèvement des épaves dont certaines sont au fond depuis plusieurs années ?
A suivre…

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Mouillages à Balaguier: Tolérance zéro

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Mouillages à Balaguier: la pétition

Lancée par l’Association des plaisanciers de Balaguier.


Alerte ! Balaguier, village de pêcheurs, un des joyaux de la corniche de la Seyne-sur-Mer bientôt dépouillé de ses... bateaux. Plus de trois siècles de tradition maritime rayés d'un trait de plume !
Le 10 mai 2024, à cause de l'arrivée de la flamme olympique, les bateaux sont chassés de l'anse pour des raisons de sécurité que nous pouvons comprendre. Cependant le fond du problème est que l'interdiction est définitive. Or dans le cahier des charges du Site Patrimonial Remarquable (SPR, anciennement AVAP) il est précisé qu'un accompagnement des mouillages doit être opéré, ce qui les rend pérennes, et le préfet du Var par l'arrêté du 23/09/2016 a validé le volet maritime du document précité. Dans ce cas précis on fait fi des dispositions du S.P.R. Par ailleurs aucune solution de remplacement n'est avancée par les différentes administrations municipales ou de l'état alors que nous proposons la mise en place de mouillages sécurisés et payants.
Les 10 bateaux, adhérents de l'Association des Plaisanciers de Balaguier, ont pour obligation de fournir à celle-ci les attestations d'assurance à jour de déséchouement, de renflouement et le cas échéant de l'évacuation des épaves, ce qui ne coûterait pas un centime à la collectivité. De même ils doivent présenter le titre de navigation et leur carte d'identité.
Un des derniers lieux authentiques de la ville va donc perdre son identité en perdant ses embarcations. Comment imaginer cette petite anse de Balaguier sans bateaux nez au vent ...
Aidez-nous à conserver l'identité de ce lieu unique en signant cette pétition (cliquer ci-dessous). Il y a urgence !!!

Mouillages pétition

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Vers un encadrement des mouillages à Balaguier ?

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Le Comité d'Intérêt Local Balaguier - le Manteau - l'Eguillette de la Seyne sur mer est une association loi de 1901 qui a pour but initial la défense des intérêts des habitants de Balaguier, de l'Eguillette et du Bois Sacré, du Manteau et de la partie Nord-Est de Tamaris jusqu'à l'avenue Thierry, l'avenue de la Grande Maison, la ligne de crête des collines et le chemin Jacques Casanova 
[Voir Géographie du CIL].
Il a pour vocation de veiller notamment à la sécurité, la protection du site, l'amélioration de l'entretien des routes et des parapets du bord de mer...
Les C.I.L. sont consultés sur les projets d'aménagement ayant un impact sur la vie de leur quartier ou leur périmètre de compétence. Ils peuvent ainsi formuler tout avis ou observation notamment en termes d'urbanisme et de déplacements.
Le C.I.L. a un rôle consultatif auprès de la municipalité. Il est un interlocuteur privilégié de celle-ci dans le domaine de l'urbanisme, de la circulation des véhicules, des transports en commun, du stationnement...
Le C.I.L. de Balaguier - le Manteau - l'Eguillette fait partie du Collectif des C.I.L. de la Seyne sur mer.
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Les tableaux illustrant la page d'accueil du site sont respectivement des oeuvres de Vincent Courdouan "La corniche de Tamaris" et d'Eugène Dauphin "Balaguier, rade de Toulon".


 Dernière mise à jour: lundi 2 juin 2025


...INFOS,
ACTUALITES,
A VOIR...

 BHNS: Enquête publique jusqu'au 25 juin

(cliquer sur l'article pour zoomer)

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 Compte rendu de la réunion du 23/04/25 avec la police municipale

Le Compte rendu de la réunion du 23/04/25 entre les représentants du CIL B-M-E et ceux de la police municipale et de la mairie est disponible en cliquant sur le mien ci-dessous.

Réunion CIL/PM du 23/04/25

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 un logo pour le CIL

(Cliquer sur le logo pour zoomer)

Après consultation de l'ensemble de ses membres, le CIL Balaguier - Le Manteau - L'Eguillette s'est doté d'un logo.

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 Une nouvelle présidente pour le C.I.L.

Suite au départ et donc à la démission de notre président Philippe Raphaël, le conseil d'administration a élu Camille Mercinier à la présidence du C.I.L. Depuis de nombreuses années Mme Mercinier assurait le secrétariat de l’association.
En cliquant sur le lien ci-dessous, vous avez accès à la lettre de la Présidente.

Lettre de la présidente

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